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Les gastronormes : comment s’y retrouver ?

Les gastronormes : comment s’y retrouver ?

Les fours ou le matériel froid sont des éléments essentiels à un restaurant. Si vous avez déjà cherché à acheter un de ces équipements professionnels, vous aurez sans doute vu des formats tels que GN 1/1, GN 2/1 ou pâtissier.

Pas facile de s’y retrouver si on est néo-restaurateur et qu’on n’en a jamais entendu parler avant… Voici donc quelques explications !

Qu’est-ce que c’est ?

Tout d’abord, GN signifie gastronorme, c’est une norme adoptée à l’échelle européenne sur la taille des grilles et bacs gastronomiques de la restauration. Elle s’oppose au format pâtissier qui est une autre norme du même genre.

Avec une telle norme, les professionnels de la restauration sont sûrs d’acheter des accessoires compatibles avec leur matériel même si cela ne vient pas du même fabricant.

Quels types d’appareils cela concerne ?

Les normes gastro concernent tous les types de matériel de cuisine professionnelle qui vont recevoir des aliments : cellule de refroidissement, armoire froide, four, étuve, et bien-sûr les accessoires qui vont dedans : grilles et bacs gastronomiques.

Ainsi, si un four est de dimensions GN 2/1, cela veut dire que ses niveaux sont de taille parfaitement adaptée pour recevoir des grilles de cette norme.

Attention cependant, cela ne concerne pas le matériel de laverie ou les équipements au format pâtissier, qui ont leur propre norme.

Comment ça fonctionne ?

La norme gastronome définit une unité de taille des objets : GN 1/1 qui est arbitrairement de dimensions 530 x 325 mm.

Toutes les autres tailles sont des fractions de cette taille de base.

Par exemple, le format GN 2/1 correspond à 2 fois cette profondeur (530 x 650 mm), et le GN 1/3 correspond à un tiers de cette surface (325 x 176 mm), etc.

Il existe actuellement 9 formats GN : GN 1/1, GN 2/1, GN 1/2, GN 1/3, GN 2/3, GN 1/4, GN 2/4, GN 1/6 et GN 1/9, mais les formats les plus courants restent GN 1/1, GN 2/1 et GN 1/2.

Voici un résumé  visuel des différents formats avec les dimensions associées.

Et le format pâtissier alors ?

Le format pâtissier est un autre format classique pour les appareils de cuisine professionnelle. Les grilles ou bacs sont dans ce cas de dimensions 600×400 mm.

En résumé

Les gastronormes (en abrégé GN) ont permis une uniformisation et une standardisation des tailles des grilles et bacs utilisés par les professionnels des CHR. Elles concernent tout le matériel de cuisine, chaud comme froid.

Vous avez besoin de matériel pour votre cuisine ? Vesto vous propose une large gamme de matériel reconditionné, c’est-à-dire de seconde main révisé, testé et réparé  pour un parfait état de marche ! Écologique et moins cher !

ouvrir restaurant

Ouvrir un Restaurant en 4 étapes

Ouvrir un Restaurant en 4 étapes

L’ouverture d’un restaurant est une vraie course contre la montre, quand on s’y engage il faut jongler entre la recherche des financements, du local, des fournisseurs, de l’équipe et bien entendu du matériel pour équiper la cuisine.

Dans quel ordre faut il chercher ces différents éléments? 

Vesto revient pour vous sur le retroplanning d’une ouverture réussie. 

1. Avant toute chose, bien définir son concept

Ouvrir un restaurant est avant toute chose une aventure entrepreneuriale, cette réalité simple est bien trop souvent oubliée, c’est entre autre chose ce qui conduirait plus ed la moitié des restaurants qui ouvrent à fermer dans les trois premières années ! Et personne n’est épargné par ce risque, pas même les plus grands comme Pierre Gagnaire qui a du mettre la clé sous la porte de son premier restaurant faute d’avoir su adapter son positionnement à la clientèle locale !!

Pour bien se préparer, il est donc primordial d’affiner son concept, de définir à quel type de clientèle est ce que l’on s’adresse et de rassembler ces informations dans un business plan.

Ces dernières années, plusieurs formation ont été lancées pour aider les restaurateur en devenir à travailler sur ces points de leurs projets comme Ferrandi Entrepreneur qui accompagne les restaurateurs de l’idée à l’ouverture ou encore l’incubateur de la Frégate focalisé sur un accompagnement business de ses incubés.  

Ferrandi Entrepreneur et son restaurant test, une formation de première qualité pour entrepreneur en devenir ou confirmé

2. Après le concept, trouver son local

Une fois le concept arrêté, deux opérations peuvent être lancées en parallèle, la recherche de financement et d’un local.

Commençons par le local, cette recherche est un moment difficile car c’est la première confrontation entre le concept que l’on a construit et imaginé et la réalité! 

Les points à bien garder en tête dans cette recherche sont bien sûr le tarif du fonds de commerce et du loyer mais aussi, et surtout, la capacité de ce lieu à vous assurer une clientèle cohérente avec votre projet.

On ne le dira jamais assez, ce point est primordial. Une méthode consiste t à se rendre dans le quartier à différents moment de la semaine pour y observer la concurrence et interroger les riverains sur leurs habitudes clientèle du midi ou du soir (panier moyen élevé ou restauration rapide?).  C’est une solution très efficace à condition d’interroger un nombre suffisant de vos futurs clients.

Pour compléter cette enquête terrain, de nouveaux services comme Mytraffic permettent d’estimer le passage devant un lieu et donc la potentielle clientèle de passage ! Un atout à ne pas négliger.  

Une fois le local trouvé, il faudra faire un premier point sur le matériel qui s’y trouve. Une partie peut sûrement être utilisée pour votre ouverture, pour le reste, plutôt que de le jeter, nous vous proposons de l’envoyer à des reconditionneurs qui lui donneront une seconde vie et vous permettront d’effectuer de nouvelles économies. 

3. La recherche de financement 

En parallèle de la recherche du local, le moment est venu de chercher les fonds nécessaires à l’ouverture, et surtout de les chiffrer !

Vous aurez déjà lors de la rédaction de votre business plan une première approche de vos besoins (fond de roulement, premiers salaires, achat du fond de commerce etc). Mais pour affiner ce chiffrage, demander de premier devis de matériel est utile !

Chez Vesto nous accompagnons les porteurs de projets à partir de ce moment là pour les aider à chiffrer au plus proche leur besoin et ne pas perdre de temps en incessants aller retours avec le banquier.
N’hésitez pas à nous contacter pour plus de renseignements.

Une fois ce chiffrage établi, il vous faudra alors choisir entre les différentes sources de financement, un sujet si important que nous lui avons consacré un article entier !

4. Et enfin équiper son restaurant

Une fois le concept, le local et le financement trouvé, c’est le moment d’équiper votre restaurant et de vous préparer au dernier sprint avant l’ouverture.

Quel matériel choisir ? Cela dépendra bien entendu de votre concept et du matériel qui se trouve dans votre local ! 

Pour compléter ce qui manque, vous pourrez faire appel à un cuisiniste qui saura vous accompagner dans la conception d’une cuisine sur mesure et l’adapter au mieux à vos besoins, il faut cependant pouvoir s’offrir ce service de luxe. 

L’extrème inverse consisterait à investir dans du matériel d’occasion trouvé par exemple sur Le bon coin qui vous permettra de réaliser d’énormes économies. Il faut cependant se préparer à devoir se déplacer pour aller le chercher, à jouer de la clé à molette pour l’installer et surtout accepter le risque de voir le matériel rendre l’âme sans prévenir. 

La troisième alternative est bien entendu celle du matériel reconditionné ! Dans ce cas vous bénéficierez à la fois des prix attractifs du matériel ayant déjà vécu mais aussi du service et de la sécurité du matériel neuf ! Découvrez ici quelques exemples de matériel reconditionné par Vesto !

Une fois votre restaurant trouvé équipé et financé, c’est l’heure de vous lancer dans la grande aventure, de recruter une équiper, trouver les derniers fournisseurs et de lever le rideau sur votre nouvelle activité, Bon service !

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Comment entretenir son armoire réfrigérée ?

Comment entretenir son armoire réfrigérée ? 

Nos conseils d’utilisation et de maintenance

Vous avez une cuisine professionnelle et vous avez besoin d’un coup de pouce pour l’entretien de votre armoire froide ? Envie d’économiser et d’éviter l’intervention d’un technicien ? Vesto vous propose des astuces pour prolonger leur durée de vie et éviter les pannes techniques dans votre restaurant.

Pourquoi ? 

Prendre soin de votre équipement frigorifique est nécessaire pour plusieurs raisons: 

  • Minimiser l’usure de l’équipement : l’important est de limiter les pannes et d’augmenter la durée de vie de votre équipement froid 
  • Eviter la surconsommation : l’encrassement est l’une des causes d’augmentation de la consommation électrique
  • Protéger l’environnement : éviter toute fuite de fluide frigorigène pour préserver l’environnement en contrôlant son étanchéité 
  • Éviter les pertes de puissance: si le groupe froid est mal entretenu, son fonctionnement ne sera pas optimal et parfois défectueux. Il aura du mal à assurer sa fonction.

Que faut-il vérifier ? 

  • Le condenseur et compresseur 

Le compresseur est le bloc moteur de votre matériel froid et le condenseur est l’élément « en serpentin qui permet de rejeter le chaud du frigo dans la pièce ». Il est primordial que ces éléments soient maintenus propres.

Exemple d’un compresseur
Exemple d’un condenseur sale

Au moins une fois par trimestre, il faut donc enlever la poussière de ces deux éléments. On peut par exemple utiliser un aspirateur / souffleur ou une brosse douce.

Si ces éléments sont encrassés, la consommation énergétique du matériel froid va augmenter de façon importante (augmentation de la facture électrique) et cela risque d’augmenter le taux de panne.

Note : certains appareils disposent de filtres, bien les nettoyer suffit en général à garder le condenseur et le compresseur propre.

  • L’évaporateur 

L’évaporateur est l’élément placé à l’intérieur de l’enceinte réfrigérée qui va venir refroidir cette dernière. La plupart des matériels froids sont équipés d’une fonction de dégivrage automatique qui se déclenche périodiquement (plusieurs fois par jour).

Si du givre apparaît sur l’évaporateur, il est important d’agir rapidement. En effet, trop de givre réduit l’efficacité de l’évaporateur (et augmente donc la consommation électrique de l’appareil). De plus, un surplus de givre peut occasionner des fuites dans le réseau frigorifique entraînant une panne de l’appareil.

Pour faire disparaître le givre, ne jamais utiliser d’objets contondants métalliques (ex. fourchette) qui risqueraient d’endommager le réseau frigorifique. Il est conseillé d’arrêter le matériel froid et de procéder à un dégivrage manuel. Bien attendre que l’évaporateur soit sec avant de remettre en route le matériel.

  • Les joints

Les joints assurent l’étanchéité et l’isolation de l’enceinte réfrigérée. Des joints défectueux vont provoquer une augmentation de la consommation électrique de l’appareil et risquent d’augmenter le taux de panne.

Il est donc recommandé de nettoyer et vérifier vos joints toutes les semaines. Si vous remarquez qu’il se décolle de la porte, est fissuré ou semble sec et se craquelé, changez le.

Conseils d’utilisations : 

Pour prendre soin de votre armoire froide, votre arrière bar, votre cellule de refroidissement ou tous vos autres équipements froids, voilà quelques conseils:

  • Couvrir vos aliments

Certains aliments, très acides, peuvent encourager la corrosion des éléments métalliques de votre armoire froide ou tour réfrigéré (en particulier l’évaporateur) et ainsi augmenter son taux de panne. Il faut donc bien couvrir vos produits et fermer vos bacs gastros.

Exemple d’aliments acides : tomate, aubergine, cornichon, fromages, viandes rouges, choucroute, etc.

  • Choisir un bon emplacement

Il est important de bien choisir son emplacement pour obtenir un fonctionnement optimal de votre équipement froid. En effet voici les principales caractéristiques: 

  • Taille de la pièce : ne pas le mettre dans une pièce trop petite / mal ventilée
  • Température ambiante : le matériel froid est conçu pour fonctionner de façon optimale sur une plage de températures dites d’intérieur. Il ne faut donc pas mettre son matériel froid en extérieur (a fortiori en hiver) et bien veiller à ce qu’il ne fasse pas trop chaud en intérieur l’été (<38-40°C pour un groupe non tropicalisé et ≤43°C pour un groupe tropicalisé)
  • Taux d’humidité : un matériel froid est constitué d’éléments électroniques, il faut donc veiller à ne pas l’exposer à trop d’humidité, et par exemple, ne pas le placer à côté d’un lave-batterie
  • Raccordement électrique : un matériel froid est souvent fait pour être raccordé au réseau électrique via une prise murale (protégé à 16A). Le raccorder directement à une sortie de câble peut exposer le matériel à une surintensité électrique car les sorties de câbles sont souvent protégées à 32A (et pas 16A).

S’équiper en matériel frigorifique

Vous recherchez une armoire froide, une table réfrigérée, une vitrine, une cellule réfrigérée ou tout autre équipement frigorifique votre cuisine professionnelle ? Vesto vous propose une large gamme d’équipements reconditionnés, c’est-à-dire de seconde main mais entièrement remis en état. Ecologique et économique !

traitement eau materiel restauration adoucisseur osmoseur

Ai-je besoin d’un adoucisseur ou d’un osmoseur pour mes équipements CHR ?

Ai-je besoin d’un adoucisseur ou d’un osmoseur pour mes équipements CHR ?

Vous êtes sur le point d’acquérir un équipement CHR utilisant de l’eau dans son fonctionnement ? Vous souhaitez prolonger la durée de vie de cet appareil ? Ou vous êtes simplement curieux/curieuse et souhaitez en savoir plus sur les différents procédés utilisés pour traiter l’eau dans la restauration professionnelle ? Alors cet article est fait pour vous !

Pourquoi traiter l’eau qui alimente vos équipements ?

De nombreux appareils utilisés dans les cuisines professionnelles consomment de l’eau courante (lave-verre, lave-vaisselle, four mixte, etc.). Une eau de « mauvaise qualité » peut avoir un impact sur la performance d’un équipement ainsi que sur sa durée de vie.

Dans le milieu de la restauration, on s’intéresse à deux grandes catégories d’impuretés:

  • le « calcaire » (Calcium et Magnésium)
  • les autres minéraux

La quantité de calcaire présente dans l’eau n’est pas la même partout en France et on la mesure par un indicateur appelé la dureté (exprimé en degrés français « °f », appelé aussi °Th pour titre hydrotimétrique). Une eau dure va favoriser la formation de dépôts de calcaire alors qu’une eau douce limitera la formation de ces dépôts. Vous pouvez avoir une idée approximative de la dureté de votre eau avec cette carte de la France (source : wikipedia).

Dureté_de_leau_en_France.svg
Carte de la dureté de l’eau en France

Puisque l‘eau dure favorise la formation de dépôts de calcaire, elle va nuire au bon fonctionnement de vos appareils dans le temps. Dans le meilleur des cas, le calcaire va engendrer une surconsommation de vos appareils. Dans le pire des cas, le calcaire peut être la cause de nombreuses pannes. De plus, utiliser de l’eau dure pour alimenter des appareils de laverie risque de nuire à la performance de votre lave-verre / lave-vaisselle puisque des dépôts de calcaire vont se former avec le temps sur votre vaisselle. Si votre eau courante est dure, nous vous conseillons donc d’utiliser un adoucisseur pour retirer le calcaire de cette eau.

lave verre lave vaisselle calcaire
Avec une alimentation en eau dure
lave verre lave vaisselle eau adoucie
Avec une alimentation en eau adoucie / douce

Les autres minéraux présents dans l’eau ne nuisent pas au bon fonctionnement de vos appareils, toutefois, ils peuvent avoir un impact sur la brillance de votre verrerie. Ainsi, si votre activité nécessite des verres éclatants, il est recommandé d’utiliser un système permettant de retirer ces minéraux (cf. osmoseur, plus bas).

Pour résumer :

  • si votre eau courante est naturellement dure, nous vous conseillons d’utiliser un adoucisseur pour vos équipements de laveriefours mixtes et machines à café. Cela permettra d’améliorer les performances de vos équipements ainsi que de prolonger leur durée de vie.
  • si votre activité nécessite des verres éclatants, nous vous recommandons d’utiliser un osmoseur pour traiter l’eau alimentant l’appareil de laverie.

L’adoucisseur pour limiter la formation de calcaire

Le rôle de l’adoucisseur est simple : capter le calcaire présent dans l’eau pour pouvoir alimenter vos appareils avec une eau douce. Cet appareil prend donc en entrée de l’eau courante et ressort en sortie de l’eau douce.

Il existe deux grands types d’adoucisseurs :

  • adoucisseurs dits « à sel » : une réaction chimique se produit à l’intérieur permettant de stocker le calcaire. Cette réaction chimique consomme du sel et il faut donc, de temps en temps, le re-remplir en sel. Le sel est un consommable.
  • adoucisseurs dits « Brita » : des membranes permettent de bloquer le calcaire pour avoir en sortie une eau douce. Des cartouches contiennent ces membranes et il faut changer la cartouche au bout d’un certain volume d’eau filtrée. La cartouche est un consommable.

Dans la suite de cet article, nous nous intéresserons uniquement aux adoucisseurs à sels, plus économiques que les Brita. Voici les principales caractéristiques des adoucisseurs à sels :

  • Eau chaude ou eau froide : la température de l’eau utilisée pour alimenter l’adoucisseur est à prendre en compte. Certains adoucisseurs sont « à eau froide » et d’autres « à eau chaude »
  • Générallocal ou intégré :
    • un adoucisseur général est placé en amont du réseau d’eau alimentant la cuisine. Ainsi, il permet d’adoucir l’eau de plusieurs appareils
    • un adoucisseur local est placé à côté de l’appareil dont il adoucit l’eau
    • un adoucisseur intégré est parfois présent dans certains équipements. Ainsi, le pot à sel est inclus dans l’appareil qui adoucit lui-même l’eau qu’il consomme.
  • Régénération manuelle ou automatique : toutes les 3-4 semaines (période variant en fonction de l’adoucisseur et de volume d’eau adouci), il faut procéder à une régénération de l’adoucisseur. Cette étape peut-être réalisée manuellement très simplement (quelques manipulations) ou bien automatiquement par l’adoucisseur lui-même.
Adoucisseur à régénération manuelle
Adoucisseur à régénération manuelle
Adoucisseur à régénération automatique
Adoucisseur à régénération
automatique

L’osmoseur pour des verres éclatants

Le rôle de l’osmoseur est de capter les minéraux présents dans l’eau (autre que le calcaire). Il nécessite obligatoirement une eau douce en entrée (< 7°Th).

L’osmoseur fonctionne grâce à un système de nano-filtration mécanique avec une membrane extrêmement fine permettant de filtrer les impuretés.

Il est préconisé pour des établissements ayant une exigence très forte sur la brillance des éléments de verrerie. On entend abusivement parfois parler de « lave-verre séchant ». En réalité, aucun lave-verre sur le marché ne sèche véritablement les verres. Toutefois, lorsque vous avez une machine dotée d’un osmoseur, il est inutile d’essuyer vos verres pour éviter la formation de dépôts / que vos verres ne ternissent puisque l’eau utilisée par l’équipement est pure.

Ainsi, si vous utilisez un osmoseur, à la fin du cycle de votre lave-verre / lave-vaisselle, il vous suffit de sortir le panier et de laisser l’eau s’évaporer pour avoir une verrerie sèche et brillante.

Des adoucisseurs et des osmoseurs reconditionnés ?

A l’heure actuelle, nous ne proposons pas ces équipements de traitement de l’eau en reconditionné. En effet, pour des raisons d’hygiène et de bonne performance, il est aujourd’hui compliqué d’assurer un reconditionnement optimal de ces équipements.

Toutefois, nous vous conseillerons au mieux dans le choix de vos équipements de traitement de l’eau. Pour certaines de nos machines comme par exemple pour le Lave-vaisselle MEIKO – FV40.2 GIO ou bien pour le Lave-verres MEIKO – FV28 GIO, nous proposons systématiquement un osmoseur neuf.

Vous avez besoin de matériel pour votre cuisine ? Vesto vous propose une large gamme de matériel reconditionné, c’est-à-dire de seconde main mais entièrement remis en état ! Ecologique et moins cher !

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Comment faire connaître son restaurant en ligne ?

Comment faire connaître son restaurant en ligne ?

Il est essentiel pour un restaurant aujourd’hui d’être présent sur internet pour assurer la promotion de son établissement et toucher une clientèle variée. Mais par où commencer ?

Grâce à notre expérience dans la visibilité digitale, et notre action au plus proche des restaurateurs nous avons résumé pour vous les meilleures pratiques pour être visible sur internet facilement et rapidement, et faire venir des nouveaux clients !

1. Créer et tenir à jour un compte Google My Business

C’est l’étape la plus essentielle, si vous deviez n’en faire qu’une, c’est celle-ci.

Le compte Google My Business permet à votre restaurant d’apparaître quand un client proche de votre établissement recherchera un restaurant sur google ou google maps.

Il permet à tous d’accéder facilement à une multitude d’informations telles que votre adresse, le numéro auquel vous contacter, vos horaires d’ouvertures, les avis de vos clients ainsi que des photos du lieu et de vos plats.

Créez votre fiche Google My Business en 2 minutes:

  1. Rendez-vous sur https://www.google.com/intl/fr_fr/business/
  2. Connectez-vous à votre compte Google en cliquant sur “Se connecter”. Si vous n’avez pas encore de compte google, cliquez sur “Commencer” pour vous en créer un.
  3. Entrez le nom de votre établissement, puis cliquez sur “Suivant”.
  4. Entrez votre type d’établissement, par exemple “Restaurant grec” ou “Boulangerie”.
  5. Google vous demande alors si vous souhaitez ajouter un lieu, cliquez sur “Oui”.
  6. Entrez l’adresse exacte de votre restaurant.
  7. Google vous demande alors si vous proposez des services à vos clients hors de votre établissement. Cliquez sur “Oui” si vous proposez un service de livraison, vous pourrez alors indiquer votre zone de livraison.
  8. Indiquez le numéro auquel vos clients peuvent vous contacter, et votre site internet si vous en avez un.
  9. Validez votre établissement: Afin de vérifier que vous êtes bien le propriétaire de votre établissement, Google vous propose de recevoir un courrier postal à votre adresse. Une fois le courrier reçu, vous n’avez plus qu’à vous connecter et à entrer le code fourni.

Complétez vos informations: Dans la barre de gauche, cliquez sur “Infos”. Vous pouvez alors ajouter des catégories correspondant à votre établissement, créer une description, compléter vos horaires d’ouverture etc…

Ajoutez des photos: Les photos sont ce qui donne envie aux clients de venir. Privilégiez les photos de bonne qualité montrant le lieu ainsi que vos plats.

Cultivez vos avis clients: Les avis clients Google sont souvent consultés et permettent de donner une bonne réputation à votre restaurant. Incitez vos clients à donner leur avis et répondez aux avis positifs comme négatifs en restant courtois et professionnels.

Tenez vos clients au courant de vos horaires d’ouvertures exceptionnels (confinement, jours fériés, fermeture exceptionnelle).

Voilà, votre établissement est maintenant visible sur Google et Google Maps ! 

2. Avoir un site internet

Avoir un site internet vous permet d’avoir une existence en ligne. C’est un moyen rapide et efficace de se faire connaître qui vous sert à présenter votre établissement, à donner envie à vos client et à leur fournir toutes les informations nécessaires.

Créez votre site en quelque clics

De nos jours, vous n’avez plus besoin d’un développeur informatique pour obtenir rapidement un site vitrine de votre restaurant. De nombreux services vous proposent de créer votre site en seulement quelques clics presque gratuitement.

En voici quelques-uns:

  • Wix: La simplicité et la rapidité

Simple d’utilisation, il vous permet en quelques clics de créer un site vitrine attrayant et intuitif.

Tarif: à partir de 10€/mois

Plus complexe à prendre en main que Wix, WordPress propose en revanche un choix presque infini de fonctionnalités. C’est un outil puissant, adapté à des utilisateurs qui connaissent déjà l’outil.

Tarif: à partir de 4€/mois.

  • Contournement: Le compromis entre la rapidité et les fonctionnalités

Cette agence digitale propose aux restaurateurs une formation pas à pas gratuite pour créer son site de click and collect à l’aide de l’outil Squarespace, outil très puissant et flexible, mais dont la prise en main nécessite d’être accompagné.

Si vous recherchez un outil digital plus complet, vous aidant à gérer votre site internet mais aussi votre visibilité, vos clients et vos commandes, il existe de nombreuses solutions, mais il faudra y mettre le prix. C’est le cas par exemple de ZenChef.

Que mettre sur votre site ?

Mettez en avant votre restaurant: Présentez votre concept, votre histoire et vos engagements. Agrémentez le tout de photos de votre établissement, de vos plats ou de votre équipe afin de donner envie au client de venir chez vous.

Ajoutez les informations essentielles pour vos clients: Il est essentiel que la personne consultant votre site trouve toutes les informations nécessaires concernant votre établissement. Cela comprend:

  • votre adresse
  • vos horaires d’ouverture
  • les moyens pour vous contacter (numéro de téléphone)
  • votre menu

Proposez des services additionnels: Votre site internet peut aussi être l’occasion de proposer des services supplémentaires à vos clients comme la commande en ligne pour de la livraison à domicile, le click & collect ou encore la réservation en ligne.

Rendez votre site facile d’utilisation pour le téléphones portables: De nombreux clients iront consulter votre site depuis leur téléphone, il est donc nécessaire que celui-ci soit “responsive”, c’est-à-dire adapté aux petits écrans.

3. Etre présent sur les réseaux sociaux

Que ça soit facebook, instagram, linkedin ou twitter, les réseaux sociaux vous permettent de toucher une gamme large de potentiels clients. Voici nos quelques conseils pour commencer:

  • Postez régulièrement : nouveaux plats, nouveaux menus, bonnes nouvelles / actualités… pensez à poster au moins une fois par semaine.
  • Apportez un soin particulier à vos visuels sur instagram: c’est le réseau social visuel par excellence, et celui qui peut donner en un clin d’oeil l’eau à la bouche à vos futurs clients.
  • Soyez proche de votre communauté: tout comme les avis google, répondez aux commentaires et aux messages et faites participer votre communauté aux coulisses de votre établissement grâce à des stories.

Vous avez besoin de matériel pour votre cuisine ? Vesto vous propose une large gamme de matériel reconditionné, c’est-à-dire de seconde main mais entièrement remis en état ! Ecologique et moins cher !

Besoin d'une pompe de vidange

Ai-je besoin d’une pompe de vidange sur mon lave-vaisselle professionnel ?

Ai-je besoin d’une pompe de vidange sur mon lave-vaisselle professionnel ?

Vous avez besoin d’un nouveau lave-verres ou lave-vaisselle pour votre cuisine professionnelle ? On vous propose des machines avec, ou sans pompe de vidange, mais que choisir ? Vesto vous aide à y voir plus clair !

Une pompe de vidange, c’est quoi ?

Il faut savoir que tous les lave-verres ou lave-vaisselles professionnels ne sont pas forcément équipés d’une pompe de vidange de série. Mais pourquoi ?

La pompe de vidange sert, comme son nom l’indique, à vidanger l’eau contenue dans la machine à chaque cycle de lavage et en fin de service. Lors de la phase de rinçage du cycle de lavage, votre lave-vaisselle ou lave-verres injecte de l’eau propre sur la vaisselle. Ce surplus d’eau doit ensuite être évacué afin de commencer un nouveau cycle, ou avant d’éteindre l’appareil pour la nuit.

Est-ce que mon lave-vaisselle a besoin d’une pompe de vidange ?

Lorsque votre appareil est positionné plus haut que le siphon d’évacuation ( dans le mur ou au sol ), l’eau s’évacue naturellement grâce à la gravité, elle se déverse.

A l’inverse, si votre appareil est positionné plus bas que le siphon d’évacuation, l’eau ne pourra pas se déverser naturellement. Pour être exact, c’est lorsque le fond de la cuve de l’appareil est positionné plus bas que le siphon d’évacuation que l’eau ne pourra pas se déverser naturellement. En général, pour des lave-verres et lave-vaisselle frontaux posés au sol, on considère qu’un siphon situé à plus de 7cm de sol empêche une évacuation d’eau naturelle. Dans ces cas, il faut que l’eau soit aspirée par une pompe de vidange pour être évacuée dans le siphon.

Pour résumer

Si votre appareil est posé sur un comptoir ou une estrade et que le siphon d’évacuation se trouve plus bas que l’appareil, vous n’avez pas besoin de pompe de vidange !

Si votre appareil est posé sur le sol avec un siphon à plus de 7 cm du sol ou que le siphon est situé au moins 7 cm plus haut que le bas de votre appareil, vous avez besoin d’une pompe de vidange !

Vous ne savez pas quel type de lave-vaisselle ou lave-verres choisir ? Venez consulter notre article sur la question !

Pour s’équiper moins cher et de façon plus écologique, vous pouvez choisir d’acheter du matériel reconditionné (de seconde main, mais réparé, nettoyé, garanti 6 mois, et 100% fonctionnel !). Vesto propose toutes sortes de lave-vaisselle et lave-verres (avec ou sans pompe de vidange). Dans le doute, n’hésitez pas à nous contacter !

La fin de vie du matériel professionnel

Fin de vie du matériel, les fabricants s’engagent !

Fin de vie du matériel, les fabricants s’engagent !

102 460 Tonnes, c’est le volume de déchets d’équipements électriques et électroniques professionnels (DEEE, D3E) produit chaque année en France ! 

C’est le contenu de 2300 semi-remorques soit près de 38km de camions !

Pour réduire ce volume colossal, il faut que tous les acteurs de la chaîne s’allient : les utilisateurs, les vendeurs, les installateurs et mainteneurs, les acteurs de la fin de vie du matériel et bien entendu les fabricants.

D’où viennent ces déchets?

Avant de devenir déchets, ces machines servaient tous les jours des artisans, des restaurateurs, des entreprises qui un jour ont décidé de les mettre au rebut. Pourquoi ? Bien souvent par ce qu’elles ne fonctionnaient tout simplement plus et c’est là que les fabricants entrent en jeu ! 

En effet, chaque machine lorsqu’elle est mise sur le marché a une espérance de vie qui dépend de la qualité de ses composants, de sa facilité d’entretien et aussi de sa facilité de réparation. 

La durée de vie des machines est directement liée à la quantité de déchets produits, l’allonger est donc la meilleure manière de réduire le tonnage de DEEE.

Eco-conception VS Obsolescence programmée : la lutte fait rage 

D’après l’Ademe, “l’éco-conception est un terme désignant la volonté de concevoir des produits respectant les principes du développement durable et de l’environnement, en recourant aussi peu que possible aux ressources non renouvelable associées à une valorisation des déchets qui favorise le réemploi, la réparation et le recyclage dans un contexte qui évoluerait alors vers une économie circulaire.” 

Il s’agit de prendre en compte, avant même la fabrication du produit, le fait qu’il devra au cours de sa vie être réparé, reconditionné puis recyclé. 

A l’exact opposé, le concept d’obsolescence programmée consiste à limiter volontairement la durée de vie d’un produit pour en augmenter le taux de renouvellement et donc in fine le nombre de produits vendus. 

Ces deux logiques s’affrontent depuis bien longtemps entre les partisans du matériel à bas coût et faible espérance de vie et les tenants d’une conception robuste qui rendent les pièces détachées accessibles. 

Mais la loi a tranché, dans le cadre de la loi anti gaspi pour l’économie circulaire (Lagec) les fabricants qui intègrent l’éco-conception seront maintenant récompensé alors que ceux qui choisissent l’obsolescence programmée seront pénalisés.

Un exemple ? La non mise à disposition de la documentation technique des machines aux réparateurs entraîne depuis 2010 une surtaxe pour les fabricants de matériel ménager. Pour les fabricants de matériel professionnel, ce sera la non mise à disposition de pièces détachées qui entraînera une surtaxe ! 

Les autres moyens pour allonger l’espérance de vie

Pour allonger l’espérance de vie du matériel, un autre moyen est de lui donner une seconde vie une fois sa première vie terminée. On reprend alors la machine avant qu’elle ne deviennent un déchet pour la remettre en état et lui donner une seconde jeunesse, c’est le concept du reconditionnement hérité de la téléphonie, et qui fait aujourd’hui ses preuves dans le matériel professionnel avec Vesto

Le matériel est alors amené dans des usines de reconditionnement dans lesquelles on lui donne une seconde jeunesse. 

Meiko lave-verre occasion reconditionné

Une fois de plus, les fabricants peuvent s’engager pour allonger l’espérance de vie du matériel à ce niveau là, c’est par exemple ce qu’a fait le fabricant de matériel de laverie Meiko en s’engageant aux côtés de Vesto.

Du matériel qui ne pouvait plus être vendu par la marque pour différentes raisons (impact logistique, matériel de démonstration ou fin de série) est maintenant remis en circulation ! A terme, ce fabricant compte aller bien plus loin dans le reconditionnement en formant par exemple des reconditionneurs pour leur permettre d’augmenter leur taux de succès ou encore en leur fournissant les pièces nécessaires.

Alors victoire de l’eco-conception ?  Pas encore même si l’engagement de certains fabricants montre une voie à suivre !

Comment financer l’ouverture d’un restaurant ?

Comment financer l’ouverture d’un restaurant ? 

Ouvrir un restaurant est souvent le rêve d’une vie, mais comment se lancer dans cette aventure lorsque l’on ne bénéficie pas de ressources financières personnelles suffisantes ? Faut il abandonner son rêve pour autant ? 

Bien entendu, un minimum d’apport personnel ou de Love Money (famille et amis) constituent un premier palier qui sera déterminant pour la suite car il détermine votre niveau de fonds propre et prouve votre engagement à ceux qui vous soutiendront par la suite.

Par la suite, il faudra présenter le dossier à la banque, ou plutôt s’armer de courage et entamer la tournées des établissements bancaires à la recherche du meilleur prêts pour compléter cet apport.

Mais avant (ou en parallèle), une autre source de financement est possible : Le financement participatif. 

Le financement participatif

Dans ce cas là, on recourt directement à l’épargne des citoyens (de ses futurs client, voisins, fournisseurs ou encore amis) pour se faire aider dans l’ouverture du restaurant !

Il y a trois grandes manières d’y recourir sans pour autant ouvrir son capital :

  • Le don sans contrepartie : cet argent vous est simplement offert par des particuliers pour vous aider à développer votre projet. Malheureusement cette modalité est bien souvent limité à quelques milliers d’euros et les donateurs seront souvent à compter parmi vos proches.

  • Le don avec contrepartie aussi appelé prévente : dans le cadre de don avec contrepartie, les particuliers vous donne de l’argent en échange de cadeaux que vous vous engagez à leur donner une fois le restaurant ouvert. Il s’agit non seulement d’un très bon moyen de financement mais aussi d’une belle manière de se faire connaître et d’acquérir de premiers clients ! On peut avec ce type de financement trouver de quelques milliers à quelques dizaines de milliers d’euros ! Un beau complément pour un apport un peu léger. 
  • Pour des projets plus conséquents, il est possible de recourir au financement sous forme d’obligation dans lesquels les particuliers vous prêtent de l’argent que vous leur rendrez avec des intérêts. Ce financement ressemble en tous points à un emprunt bancaire sauf que ce sont vos potentiels clients qui vous prêtent de quoi ouvrir et qui seront d’autant plus à même de venir souvent chez vous ! 

Pour organiser votre campagne, de nombreuses plateformes existent avec des tarifs et des audiences fortement variables, nous allons ici vous en présenter quelques unes :

Miimosa, la plus spécialisée : Spécialement dédiée aux projets d’agriculture ou d’alimentation, Miimosa s’impose comme un acteur incontournable lorsque l’on veut financer un projet de restaurant. Permettant les 4 types de financement, la plateforme a même mis en place le mouvement des cuistots engagés avec le chef Yves Camdeborde pour aider les porteurs de projets de restauration durable en ce moment difficile.

Ulule : la plus grand public : Cette plateforme rassemble des projets allant de la fabrication de chaussettes made in france à la prévente d’une bande dessinée en passant bien entendu par le financement de nombreux restaurants.
Son atout indéniable? Une large communauté d’habitués en recherche de nouveaux projets à soutenir.

Tudigo : pour les collectes importantes : Avec une sélection poussée des projets et des montants pouvant monter jusqu’à 8 millions d’euros, Tudigo est spécialisé sur les collectes relativement importantes. Cette plateforme permet notamment de réaliser des levées de fonds en capital dans lesquelles les investisseurs prennent des parts de votre projet, un outil idéal pour les grosses collectes.

Zest : le challenger : Créée en 2016 à l’initiative de la banque coopérative NEF, Zest est une plateforme entièrement dédiée au projets engagés écologiquement.
Son atout ? Elle permet aux porteurs de projets de récupérer les sommes investies dès le premier euro, alors que la plupart des autres plateformes nécessitent d’atteindre un certain palier. 

Quel que soit votre choix, il est impératif d’utiliser au mieux l’argent que vous parviendrez à récolter de cette manière, c’est pour cette raison que Vesto vous propose du matériel reconditionné par des professionnels à des tarifs défiants toute concurrence.

Ouverture Fermeture de restaurant

Fermeture / Ouverture : Que faire de votre matériel usagé ?

Fermeture / Ouverture : Que faire de votre matériel usagé ?

Vous avez décidé de fermer votre affaire et vous ne savez pas quoi faire de votre matériel usagé ? Vous arrivez dans un local dans lequel se trouve encore le matériel du précédent occupant et que vous ne souhaitez pas garder ? Pas de panique ! Nous avons écrit cet article pour que tout se passe pour le mieux 🙂 

Matériel indésirable et déchets

Que ce soit lors d’une fermeture ou dans le cadre d’une ouverture, la gestion du matériel de restauration usagé peut vite devenir un cauchemar pour les restaurateurs. Les dimensions et le poids de certains appareils les rendent particulièrement peu mobiles et peuvent nécessiter l’intervention de professionnels de la manutention.

En fonction de l’ancienneté du matériel et de la cuisine, certaines pièces peuvent avoir une seconde vie en l’état, d’autres sont réparables et le reste (non réparable) finira au recyclage. Pour maximiser la durée de vie de ce matériel, il est préférable de le réparer ou de le reconditionner dans une logique d’économie circulaire. La solution que vous allez utiliser pour vous débarrasser de ce matériel usagé va grandement influer sur le sort de ces appareils et leur impact sur l’environnement.

Les solutions existantes

Vous disposez de plusieurs alternatives pour vous débarrasser de ce matériel usagé :

  • Vente en l’état sur des sites comme le bon coin ou le coin du pro : cette solution peut vous rapporter un peu d’argent. Elle vous coûtera surtout beaucoup de temps et d’énergie pour trouver un acheteur disponible et qui correspond à vos contraintes logistiques et en terme de délais. A terme, il vous restera probablement quelques appareils, qui n’auront pas trouvé preneurs, sur les bras. 
  • Intervention d’une entreprise de curage : cette solution ne vous rapportera a priori pas d’argent et vous en coûtera peut-être en fonction de l’état du matériel (ancienneté, usure, propreté, etc.). Le fonctionnement habituel est le suivant : les cureurs se rémunèrent en revendant le matériel qu’ils enlèvent. Ils gèrent donc toute la logistique. Si le lot de matériel n’est pas intéressant pour eux, ils pourront vous facturer une partie de la prestation. Cette solution est surement la moins vertueuse d’un point de vue environnemental puisque le matériel est souvent mis à la ferraille ou revendu dans des conditions douteuses.
  • Intervention de ValoRestoPro : cette solution est gratuite à partir de 500 kg de matériel usagé et vous sera facturée en-dessous (cf. conditions d’enlèvement). C’est la solution la plus vertueuse et la plus sûre d’un point de vue environnemental puisque le matériel entrera dans la filière déchet (très encadrée en France) et qu’il sera ensuite recyclé. Ce service est coordonné par Ecologic.

Allons plus loin

Chez Vesto, nous pensons que ces solutions doivent être améliorées pour être plus vertueuses d’un point de vue environnemental et plus juste pour vous qui vous séparez d’un matériel qui coûte très cher à l’achat. La réparation ou le reconditionnement sont d’excellente alternative à la vente en l’état ou au recyclage. En effet, un matériel reconditionné trouve plus facilement un acheteur qu’un matériel d’occasion et le reconditionnement est bien plus intéressant que le recyclage en ce qui concerne l’impact sur l’environnement.

Nous sommes ainsi convaincu que développer le reconditionnement de matériel de restauration professionnel permettra prochainement de racheter du matériel usagé à des restaurateurs et commerçants de bouche. Nous menons en ce moment des tests sur la reprise de ce type de matériel et espérons pouvoir rapidement proposer ce service à toutes et tous !

Comment choisir son matériel de laverie

Comment choisir son matériel de laverie professionnel

Comment choisir son matériel de laverie professionnel ?

Lorsqu’on parle de matériel de laverie à des restaurateurs, de très nombreux termes plus ou moins techniques peuvent être employés: lave-verre, lave-vaisselle à capot, lave-batterie, lave-vaisselle frontal et même tunnel de lavage ! Dans cet article, on vous explique comment vous y retrouver pour vous équiper au mieux ! On laissera de côté les équipements permettant de laver les textiles 😉

Fonction principale et critères de choix

La fonction principale de tous ces appareils est bien entendu la même : laver ! Pour cela, ils utilisent de l’eau chaude ainsi qu’un produit détergent pour enlever les graisses et un produit de rinçage. 

Toutefois, chaque type d’appareils a ses spécificités et a été conçu pour un usage donné. Voici les principaux critères de choix:

  • Quels éléments voulez-vous laver ? : la dimension des éléments que vous souhaitez laver est très importante. On ne pourra ainsi pas laver un bac gastro 1/1 (53 cm x 60 cm) dans un lave-verre 40 cm x 40 cm. De même, certains éléments de vaisselle sont trop grands pour rentrer dans un lave-verre.
  • Quel volume voulez-vous laver quotidiennement ? : le volume / nombre d’éléments que vous souhaitez laver en moyenne au quotidien est un critère primordial. De façon assez intuitive, plus vous souhaitez laver un grand volume d’éléments plus il vous faut un appareil grand ou bien plusieurs appareils.
  • Où souhaitez-vous insérer l’appareil dans votre établissement ? : si votre cuisine est déjà conçue ou si elle n’est pas modulable, vous allez devoir prendre un appareil qui rentre dans un espace bien défini. Si elle n’est pas conçue ou si elle est modulable, il est capital de prévoir l’emplacement de l’appareil ainsi que les futurs flux de matériel (flux à laver et ensuite, flux lavés) pour respecter au mieux la marche en avant.

3 grandes familles d’appareils

Il existe trois grandes familles de matériel de lavage :

  • Lave-verre et lave-vaisselle frontal : ces appareils sont très semblables à des lave-vaisselles de particuliers. Ils ont une porte frontale et on y dispose un panier dans lequel on vient mettre les éléments à laver. Les formats les plus répandus de lave-verres sont 35 cm x 35 cm, 40 cm x 40 cm et 45 cm x 45 cm. Dès qu’on passe sur du 50 cm x 50 cm, on parle alors de lave-vaisselle (frontal en l’occurrence). En fonction des éléments que vous souhaitez laver, vérifiez bien la hauteur de passage utile qui correspond à la hauteur maximale des éléments que vous pouvez laver. En général, deux cycles d’environ 60 secondes et 120 secondes sont disponibles.
  • Lave-vaisselle à capot et lave-batterie : ces appareils permettent de laver des éléments plus volumineux que les lave-verres et lave-vaisselles frontaux ainsi qu’un plus grand volume de pièce à chaque lavage. La hauteur de chargement est en générale plus haute que celle des lave-verres et lave-vaisselles frontaux. Ils sont souvent disposés entre deux tables inox (une table d’entrée et une table de sortie) avec parfois une plonge à côté de la table d’entrée, ce qui permet de faire glisser des paniers directement depuis la table de remplissage vers la machine.
  • Tunnel de lavage : ces appareils sont utilisés dans de très grandes brasseries et restaurants ainsi que par des traiteurs et restaurants collectifs. On dispose les éléments à laver dans des casiers qui sont chargés sur un convoyeur (mécanisé ou non). Les différentes étapes du lavage sont réalisées lors de la progression du casier dans le tunnel.

A titre d’exemple, dans un bar d’une trentaine de places assises, proposant quelques entrées, plats et desserts, il est classique de voir un lave-verre disposé sous le comptoir ainsi qu’un lave-vaisselle frontal situé dans la cuisine. Le lave-verre sert à laver les éléments de verrerie et le lave-vaisselle les assiettes, couverts et quelques éléments de préparation.

Les conseils de Vesto

Une fois que avez identifié de quel type de matériel vous avez besoin, il y reste encore quelques écueils à éviter. Voici nos conseils :

  • Equipez-vous d’au moins deux ou trois paniers : à l’usage, c’est très pratique d’avoir plusieurs paniers. Vous pouvez en charger un, pendant qu’un autre est en train d’être lavé et que les éléments du troisième panier, qui sort tout juste de l’appareil de lavage, sont en train d’être rangés.
  • Choisir le bon type de vidange : Les appareils de laverie consomment de l’eau propre et rejettent de l’eau souillée. La vidange de la cuve de ces appareils peut se faire soit par gravité soit via une pompe de vidange. La vidange par gravité est naturelle, pour qu’elle ait bien lieu, il faut que votre sortie évacuation d’eau soit plus basse que le fond de la cuve de votre appareil de lavage. La vidange par pompe de vidange est forcée par une pompe, elle a donc systématiquement lieu, peu importe la position de votre évacuation d’eau. Le type de vidange est très souvent précisé dans la fiche produit des appareils.
  • Prévenir la formation de calcaire : A l’usage, du calcaire risque de se déposer dans votre appareil de lavage. La dureté de votre eau, c’est-à-dire sa teneur en calcaire, dépend principalement de votre situation géographique (cf. carte de la dureté de l’eau en France). Si votre eau est dure, il est préférable d’ajouter un système pour adoucir l’eau. Ce système peut-être mis en amont de l’appareil de lavage mais certains appareils de lavage dispose d’une fonction d’adoucisseur intégré (pour cela, il faut ajouter un produit qui adoucit l’eau dans le compartiment adéquat). Pour avoir un résultat éclatant sur de la verrerie, on peut également utiliser, en plus d’un adoucisseur, un osmoseur qui va éliminer toutes les impuretés de l’eau.

Et si vous achetiez un appareil de lavage reconditionné ?

Chez Vesto, nous avons pour objectif d’aider les restaurateurs à rendre leur établissement plus durable en leur proposant une offre de matériel reconditionné.

Un matériel reconditionné est un appareil de seconde main qui a été:

  • entièrement testé
  • réparé si besoin
  • garanti (au moins 6 mois chez Vesto)

En plus, nos appareils reconditionnés sont au moins 30% moins chers que le neuf !

A l’heure actuelle, nous proposons principalement des lave-verres et lave-vaisselle frontaux reconditionnés. Si ces appareils ne correspondent pas à votre recherche, nous vous recommandons de nous contacter directement en demandant un devis. Nous ferons le maximum pour vous trouver la perle rare chez l’un de nos reconditionneurs partenaires.

Vous avez besoin de matériel pour votre cuisine ? Vesto vous propose une large gamme de matériel reconditionné, c’est-à-dire de seconde main mais entièrement remis en état ! Ecologique et moins cher !